Certes j'ai vu des iris à Auvers-sur-Oise, mais point d'Irisiades. En fait, je me suis trompée d'une journée!
En ce vendredi 25 mai aux allures estivales (les semaines se suivent et ne se ressemblent pas), seuls les professionnels avaient accès au château pour installer les décors de cette exposition. Alors, j'ai déambulé dans les petites rues, sur les pas de son hôte le plus célèbre, Vincent.
J'avais fait ce périple il y a une quinzaine d'années, à notre arrivée dans la région, par un morne dimanche de novembre, où la foule des touristes ne se bousculait pas. Mes photos (pas encore numériques) reflétaient l'âme tourmentée du célèbre peintre. Quel contraste avec ce soleil éclatant et cette chaleur, qui ont fait apparaître les parapluies pare-soleil de quelques japonais en goguette. Mais pas encore l'époque des tournesols.
Voilà le seul point de lumière de cette minuscule pièce où s'entreposaient 90 tableaux!
A l'auberge pas de bouquet d'iris
D'autres bouquets ont pris place et apparemment, le touriste n'aura pas le gosier sec.
Continuons notre ballade, dans ses rues fleuries et aux petites maisons, qui ont inspirées le peintre.
Quand les murs se parent de sculptures mexicaines! |
maison de 1598 |
et la fameuse église tant immortalisée |
Un rendez-vous manqué que, finalement, je ne regrette pas
et puis des iris, il y en a plein les rues.
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