Préalable pour les 13 lecteurs qui se sont ruez sur ce texte:
tout d'abord merci à vous de votre fidélité, mais sachez que l'extrait d'article de journal, qui avait été repris, était bourré de références erronées, notamment économiques.
Voici donc la version modifiée.
Mon bouquet pour mes hôtes: des carottes "yellowstone" des Plaisirs du Jardin. |
Avec La Ruche qui dit oui, on participe à un nouveau modèle économique: «Manger mieux, manger juste.
Guilhem Chéron, son cofondateur,
designer du secteur de l’alimentation, consultant en marketing et auteur de bouquins de cuisine, a lancé cette startup à Paris en novembre 2010. Depuis sa création elle bénéficie d' une couverture médiatique des plus fournie, y compris dans la presse économique: "Fondée il y a deux ans, La ruche qui dit oui.fr a réalisé un chiffre d’affaires de 25 000 euros en 2011, en hausse de 30 % par mois Capitaux recherchés en 2012 : 1 M€" (Challenges). Pour plus de détails lisez le dossier de presse: http://www.laruchequiditoui.fr/fichiers/Dossier_de_presse_LRQDO_20121004.pdf
Et bien sûr les investisseurs s'intéressent à elle,
mais nous aborderons ce sujet plus tard. Revenons à la source "humaine" et conviviale.
De la convivialité j'en ai rencontré à Paris dans le 9ème,
au 20-22 rue Richer (rucher ?ils l'ont fait exprès?)
Voici un petit diaporama de mon passage chez eux, où comment je me replonge dans un quartier que j'ai fréquenté jadis du temps de l'UAP et où je n'ai pas remis les pieds depuis 20 ans!
Une adresse rue du Faubourg Montmartre à découvrir impérativement. |
On approche. |
Ils ont bien choisi le quartier, il y a de la nourriture à tous les coins de rue. |
Ils m'avaient dit à côté des folies. |
Entrons dans l'antre |
De tres jeunes abeilles donc. Tu m'en avais parle, mais c'est sympa de le voir en images.
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