jeudi 18 octobre 2012

J'vous ai apporté des carottes...car les fleurs c'est périssable...

Préalable pour les 13 lecteurs qui se sont ruez sur ce texte: 
tout d'abord merci à vous de votre fidélité, mais sachez que l'extrait d'article de journal, qui avait été repris, était bourré de références erronées, notamment économiques.
 Voici donc la version modifiée.
Mon bouquet pour mes hôtes:  des carottes "yellowstone" des Plaisirs du Jardin.
Voilà, ça y est, je l'ai vu le saint des saints de la "Ruche qui dit oui", la startup qui a le vent en poupe, au service d'une belle idée, qui curieusement nous vient des Etats-Unis


Avec La Ruche qui dit oui, on participe à un nouveau modèle économique: «Manger mieux, manger juste.
 

Guilhem Chéron, son cofondateur, 

designer du secteur de l’alimentation, consultant en marketing et auteur de bouquins de cuisine, a lancé cette startup à Paris en novembre 2010. Depuis sa création elle bénéficie d' une couverture médiatique des plus fournie, y compris dans la presse économique: "Fondée il y a deux ans, La ruche qui dit oui.fr a réalisé un chiffre d’affaires de 25 000 euros en 2011, en hausse de 30 % par mois Capitaux recherchés en 2012 : 1 M€" (Challenges). Pour plus de détails lisez le dossier de presse: http://www.laruchequiditoui.fr/fichiers/Dossier_de_presse_LRQDO_20121004.pdf 
Et bien sûr les investisseurs s'intéressent à elle, 
mais nous aborderons ce sujet plus tard. Revenons à la source "humaine" et conviviale.

De la convivialité j'en ai rencontré à Paris dans le 9ème, 
au 20-22 rue Richer (rucher ?ils l'ont fait exprès?)
Voici un petit diaporama de mon passage chez eux, où comment je me replonge dans un quartier que j'ai fréquenté jadis du temps de l'UAP et où je n'ai pas remis les pieds depuis 20 ans!

Une adresse rue du Faubourg Montmartre à découvrir impérativement.

On approche.

Ils ont bien choisi le quartier, il y a de la nourriture à tous les coins de rue.

Ils m'avaient dit à côté des folies.

Nous arrivons devant la jolie entrée de l'immeuble
Sur la façade des vestiges d'une activité d'antan.

Entrons dans l'antre

Point d'abeille ouvrière devant leurs écrans, mais des bourdons en dilettante! Je vous jure j'ai tout de même vu les start up's women and men à l'action.
  

L'équipe au presque grand complet + une intruse (du Vexin français dans le Val d' Oise)

Quand je vous disais que les abeilles ne se contentent pas que du pollen!

Malgré le manque de lumière (certains comprendront) les abeilles semblent venir du sud. Il y a même une Maya à l'accent espagnol

Soupe marocaine aux abricots et salade de radis noir, betteraves, ail, oignons et pois chiches, ça se confirme. Quoiqu'un comté et un brie pointent leur nez.

Encore merci pour le sympathique accueil.


1 commentaire:

  1. De tres jeunes abeilles donc. Tu m'en avais parle, mais c'est sympa de le voir en images.

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